Un peintre avait deux chats, un gros et un petit.
Un ami qui lui rend visite remarqua au bas de sa porte deux trous, dont l’un était plus grand que l’autre. Il lui demanda la raison de ces deux ouvertures. « le plus grand » dit-il, « c’est pour que le gros chat puisse passer et le petit trou, c’est pour le petit chat. »
« le petit chat ne pouvait-il donc pas passer par le grand trou ? » dit l’ami en riant.
« c’est vrai » dit le peintre, « je n'y avais pas pensé ! »
(tiré de : Le chat et le Samouraï - Teisen Perusat Stork - éditions Publisud 1989)